Centre Bioforce Afrique : une nouvelle génération
d’humanitaires fait sa rentrée !
Hier lundi 8 mai, 6 mois après le lancement par Bioforce de son Centre Afrique à Dakar (Sénégal), la première promotion d’élèves en formations certifiantes, futurs logisticiens et responsable RH et finances humanitaires, a fait sa rentrée : ils formeront la nouvelle génération d’humanitaires !
Ces 27 élèves, de 12 nationalités différentes, principalement d’Afrique de l’Ouest et Centrale, issus d’ONG, du secteur privé ou publique ont tous rejoint Bioforce pour concrétiser leur volonté d’engagement au service des autres. Leur formation, d’une durée de 3 mois au Centre Bioforce Afrique, se poursuivra avec une mission en ONG de 6 mois. A l’issue de ces deux périodes, ils se verront délivrer un titre français de niveau III pour les logisticiens (équivalent bac+2) et de niveau II pour les responsables Ressources Humaines et Finances (équivalent bac+4).
Il s’agit des toute premières formations métiers qu’abrite le Centre Bioforce Afrique, lancé en novembre dernier en réponse à l’appel de 15 organisations internationales pour la mise en place d’une offre de formation qualifiante et reconnue en Afrique de l’Ouest et Centrale. Pour chacune, recruter des professionnels compétents capables de répondre aux besoins des populations est un défi quotidien et impacte leur capacité d’intervention.
Dès aujourd’hui, à Dakar, Bioforce propose une offre de formation complète (formations certifiantes et formations continues), accessible et indispensable autant au personnel de ces organisations qu’aux acteurs locaux, ceux qui se mobilisent en première ligne pour répondre aux crises. Notre ambition est ainsi de participer activement à l’émergence d’un vivier d’une nouvelle génération d’humanitaires, tout en accompagnant les organisations et institutions locales qui font face aux crises.
Portrait de promo
27 élèves, 26% de femmes et 74% d’hommes, originaires de : Niger, Côte d’Ivoire, Sénégal, RDC, France, Haïti, Guinée, Italie, Burkina Faso, Cameroun, République Centrafricaine et Congo.
Ils viennent d’ONG ou institutions internationales (UNICEF, OMS, Ambassade du Canada, Terre des Hommes, Alima, ACTED, Solidarités International, Fédération Internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge), d’organisations locales (ASAPSU, Agence nationale pour la promotion de l’emploi des jeunes du Sénégal), et du secteur privé régional (Advans Cameroun, NSIA assurance, SITACI Burkina Faso, OLAM international)