Dans la presse
Bioforce est à l’honneur de la presse nationale et locale ces dernières semaines. Revue de presse.
L’envie d’aider les autres, de donner un sens à sa vie : la presse ces dernières semaines constate un tournant chez les 18-30 ans. « S’engager mais comment ? » s’interroge Le Figaro Magazine. Les pistes sont vastes et à la hauteur du niveau d’engagement. Etre professionnel, employé du secteur humanitaire, est une des pistes ouvertes à cette génération qui ne se reconnait plus dans nos sociétés. C’est que rapporte Aurélia Picard du site « Jeune & Bénévole » interrogé par l’hebdomadaire : « Pour beaucoup, le premier engagement est un choc (…) la motivation, aussi forte et sincère soit-elle, ne suffit pas toujours pour intégrer une structure« . Le magazine poursuit : « l’éventail des compétences recherchées par les ONG est de plus en plus large (…) comme en témoigne le succès de l’Institut Bioforce de Lyon, premier établissement d’enseignement des métiers de l’humanitaire, qui forme chaque année plus de 1 500 personnes d’horizons divers« .
Jessica Roisier a été formée et est diplômée de l’Institut Bioforce. Son parcours d’engagement, de La Havane au XIIIe arrondissement de Paris en passant par les Philippines, a attiré le regard du quotidien France-Antilles qui lui a consacré un long portrait il y a quelques semaines. On y décrit « une jeune Martiniquaise indépendante et déterminée, au parcours atypique depuis l’adolescence » pour qui l’Institut Bioforce et la formation Coordinateur de projet de la Solidarité Internationale ont été « l’aboutissement concret d’un long parcours du combattant, avec l’assurance d’un débouché à la clé ». Au sein de Médecins Sans Frontières Belgique depuis 5 ans, Jessica multiplie les actions dans les pays marqués par les guerres ou les épidémies en assurant la gestion du personnel de l’ONG.
Former des personnes aux métiers de l’humanitaire, aptes à répondre aux besoins, c’est ce qu’évoque Gilles Collard dans le quotidien Le Progrès. Les contextes de crise (pauvreté, changement climatique, terrorisme) sont nombreux. Répondre efficacement demande de plus en plus de compétences explique le directeur général de l’Institut Bioforce et il devient encore plus urgent de « former des professionnels capables de répondre à ces crises ».