Les crises peuvent être liées à la dégradation de l’environnement et/ou contribuer à cette dégradation. A l’inverse, un environnement préservé facilite la sortie de crise et la résilience des populations. En outre, la réponse humanitaire elle-même peut avoir un impact négatif sur l’environnement qu’il faut impérativement prendre en compte et minimiser selon le principe du « Do no harm » (Ne pas nuire).


Cette conférence aura lieu mardi 8 octobre 2019, 17h30, dans nos locaux à Lyon.


 

L’intervenante

Samantha BRANGEON
Chargée de recherche Environnement, Groupe URD

Samantha Brangeon travaille sur les liens entre « aide humanitaire » et « environnement », notamment sur l’analyse de l’empreinte environnementale des opérations et des crises humanitaires. Elle anime également le Réseau Environnement Humanitaire (REH) qui regroupe des organisations désireuses d’avancer sur l’intégration de l’environnement dans leurs pratiques et programmes. Avant de rejoindre le Groupe URD en 2015, elle a travaillé pendant 8 ans dans le secteur de la solidarité internationale en tant que chargée de programmes à la fois au siège d’organisations (Save the Children, Christian Aid) et sur le terrain (Soudan, Sri Lanka, RDC, Haïti).

 

 

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