Témoignage en zone de guerre

Image d'illustration : coupure de presse du quotidien Le Monde - Le défi de l’insertion des jeunes diplômés dans l’humanitaire

Dans Le Progrès, François Galazka, 35 ans, ancien étudiant Bioforce, promo 2019, témoigne de sa troisième mission à Gaza comme manager logisticien pour Médecins sans frontières. Il raconte les conditions extrêmes vécues par ses collègues et la population : « Mes collègues avaient maigri à vue d’œil. Ça m’a choqué, sachant que les employés de MSF font partie des rares personnes qui touchent encore un salaire ». Face aux blocages, aux violences et au manque de ressources, il souligne la nécessité de protéger l’aide humanitaire et de garantir l’accès au fioul et aux médicaments.

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Un métier de gestion de crise en préfecture

De son côté, Ouest-France a consacré un portrait à Ianis Proal, chef du poste de commandement sécurité à la préfecture depuis 2023. Après un parcours académique et une formation à Bioforce, il a débuté sur le terrain humanitaire avant d’intégrer l’administration. « J’ai eu l’envie de travailler dans la gestion de crise quand j’ai étudié les relations internationales Nord-Sud et l’émergence des mouvements sociaux ».
Son quotidien ? Anticiper et gérer des crises diverses, des catastrophes naturelles comme la tempête Ciarán à l’organisation d’événements comme le Tour de France.

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