« Je suis venu à Bioforce pour apprendre un métier »
Alexandre a terminé sa formation Responsable Ressources Humaines et Finances de l’Action Humanitaire et est désormais en Irak avec l’ONG Solidarités International. De son souhait d’être humanitaire à sa vie sur le terrain d’intervention, il nous raconte son parcours.
Comment est née la décision de te lancer dans l’humanitaire ?
Je voulais devenir humanitaire pour me rendre utile à une cause qui fait sens pour moi. J’ai eu besoin de me reconcentrer sur des valeurs importantes et j’ai démissionné de mon ancien emploi dans le secteur privé. J’ai trouvé Bioforce en regardant les profils de différents membres d’ONG sur LinkedIn, le nom de l’école revenait souvent dans leur parcours. J’ai approfondi mes recherches et constaté que Bioforce était une école de formation reconnue et une porte d’entrée dans le secteur de l’humanitaire. Comme j’avais étudié la finance et travaillé dans le recrutement, je me suis inscris au parcours Responsable Ressources Humaines et Finances, qui correspondait à mon profil. J’ai désormais hâte de pouvoir apporter mes connaissances au secteur, d’évoluer encore, d’aller de mission en mission et d’apporter ma pierre à l’édifice.
« La formation Responsable Ressources Humaines et Finances m’a donné des connaissances ciblées et m’a permis de réellement apprendre un métier. »
Que t’as apporté la formation Responsable Ressources Humaines et Finances de l’Action Humanitaire ?
De solides compétences professionnelles principalement. Je pense qu’un des plus gros atouts de Bioforce est la qualité de l’apprentissage. La formation Responsable Ressources Humaines et Finances m’a donné des connaissances ciblées et m’a permis de réellement apprendre un métier. J’ai eu ensuite l’opportunité de trouver une mission qui rentre parfaitement dans la continuité de mon parcours professionnel, ce qui me permet d’accéder au secteur sans crainte pour la suite.
Quel en est ton meilleur souvenir ?
J’ai fait beaucoup de belles rencontres, le corps enseignant et les collègues ont été extrêmement bienveillants, malgré la distance physique sur une partie des cours. Pouvoir échanger avec des gens qui ont les mêmes souhaits d’orientation que moi était bénéfique, il y a eu une réelle écoute. J’ai également pu en apprendre beaucoup sur un milieu que je ne connaissais que très peu avant de me lancer.
Aujourd’hui tu es en Irak, comment se passe cette mission humanitaire de fin de formation ?
Le métier que j’y exerce avec Solidarités International est en adéquation avec ma formation. Mes premiers pas dans l’humanitaire se passent super bien, j’ai la chance d’être dans une zone sécuritairement stable, ce qui me permet de continuer à apprendre dans de bonnes conditions. Je suis hyper reconnaissant de pouvoir apprendre plein de choses sur le terrain, et d’évoluer encore, je l’espère, avec d’autres missions par la suite.
