« On ne perd jamais une fois qu’on est passé à Bioforce »
En route vers le Forum Mondial de l’Eau 2022, qui aura lieu du 21 au 26 mars à Dakar, avec le témoignage de Samuel Hercules, ancien élève de la formation Responsable de projets Eau, hygiène et assainissement et aujourd’hui engagé au sein de l’ONG ACTED en République Démocratique du Congo.
Pourquoi ce choix de t’engager dans l’humanitaire ?
L’humanitaire, je l’ai commencé depuis 2012 dans ma ville natale de Bangassou en République Centrafricaine un peu plus jeune, en faisant du bénévolat dans une association locale. J’avais un penchant vers l’accès à l’eau et la promotion en matière d’assainissement et d’hygiène, car ma région natale fait partie des zones qui ont un sérieux problème d’accès à l’eau. Ensuite j’ai travaillé avec ACTED pendant plus de 5 ans en RCA sur différents postes avant d’aller à Bioforce.
Pourquoi cette étape de formation à Bioforce ?
L’humanitaire étant un secteur qui se professionnalise, il fallait que je puisse m’offrir vraiment le savoir-faire nécessaire et un savoir-être adapté au secteur humanitaire. En recherchant une école de formation en lien avec mes ambitions, un jour je me suis rendu compte que Bioforce pourrait répondre à mes attentes : les contenus des formations Bioforce sont étroitement liés au besoin sur les terrains humanitaires et les parcours des intervenants/formateurs sont jalonnés de grandes expériences du secteur, qu’ils travaillent auprès des institutions bailleurs de fonds ou dans les organisations de réponse humanitaire.
Que t’a apporté la formation Responsable de projets Eau, Hygiène et Assainissement ?
On ne perd jamais une fois qu’on est passé à Bioforce. Car un passage à Bioforce va directement impacter le savoir-être, en plus des connaissances techniques.
La formation à Bioforce m’a permis, et me permet aujourd’hui, de gérer mes activités de projet avec précision. Les grandes lignes du management de projet et particulièrement dans le domaine de l’eau, hygiène et assainissement dans le secteur humanitaire (en urgence, relèvement ou développement) étant tracées, j’essaie de plus en plus de les contextualiser en tenant compte de l’environnement socio-culturel, économique et géographique.
La valeur ajoutée de la formation Bioforce est aussi de m’avoir permis de renforcer la confiance en moi et de pouvoir contribuer à la résilience des communautés vulnérables.
